Meleneth Linvanë

Invité

Un feu crépite faiblement dans l'âtre. La maison, plongée dans l'obscurité, est animée de sa vie propre, sa vie nocturne, laissant entendre sa voix à travers les doux gémissements du bois. La musicienne se redresse brusquement, le cœur emplie d'effroi, les yeux égarés, le corps tendu.

Où est-il ?

Puis, lentement, progressivement, elle prend conscience qu'elle n'est pas seule. Une présence, une chaleur se trouve près d'elle, apaisante, réconfortante. Meleneth ferme les yeux de longues secondes, peut-être même de longues minutes, se forçant à inspirer profondément.

Un rêve, ce n'est qu'un rêve !

Elle se met à prier intérieurement... prier les étoiles que cela ne soit pas un rêve cruel, elle prie le vent, la lune et la nuit pour que cette présence ne s'évanouisse pas lorsqu'elle ouvrira les yeux. La peur et l'angoisse tenaillent ses entrailles, son cœur bat de façon plus lente... plus sourde, toujours enserré dans un étau de crainte.

Je dois me calmer... ouvrir les yeux et me confronter à ce qui est...

Encore une profonde inspiration. Les sens de la musicienne sont en éveils. Elle perçoit le feu qui se meure dans la cheminée, les craquements du bois autour d'elle et enfin une respiration près d'elle, légère, calme... la respiration d'une personne profondément endormi.
L'étau de son cœur se desserre quelque peu. Lentement, la musicienne ouvre les yeux et pose son regard sur celui qui est près d'elle, celui pour qui elle est prête à tout sans la moindre hésitation, celui qu'elle chérit au delà de tout... son tendre Adeanor.

Il est vraiment là... vraiment de retour...

Le regard de la musicienne se fait plus tendre, ses traits s'apaisent d'avantage. Elle n'ose pas bouger de crainte de le réveiller. Elle reste donc là, à demi allongée, immobile... contemplant les doux traits de celui à qui elle a donné son cœur, se faisant gardienne de son sommeil. Elle repense à ces derniers jours marqués par la peur de ne plus jamais le voir... la peur qu'un malheur se soit abattu sur lui... son désespoir lorsqu'elle avait essayé de le retrouver. Les yeux bleus azurs de Meleneth se pose sur le torse de son aimé. Son cœur se serre à nouveau en voyant les marques et les hématomes apparent, souvenirs bien trop présent et cruels de ces moments d'effroi... elle ne peut qu'à peine imaginer ce qu'il a du traverser. Lui qui prend toujours sur lui pour la préserver... qui tait ses propres douleurs pour la rassurer. Une larme coule doucement le long de sa joue alors qu'elle continue de contempler celui qui représente tout pour elle.

J'aurais aimé en faire plus... j'aurais voulu être plus forte... te retrouver... t'aider... Pour toi... j'apprendrais à me battre. Pour toi, j'apprendrais à être forte.

Tout en douceur, la musicienne se penche pour déposer un tendre baiser sur les lèvres de son aimé et murmure dans un souffle « Meleth vîn Melethron ». Dans des mouvements lents, cherchant toujours à ne pas le réveiller, elle se blottit contre lui. D'un geste doux et apaisant, elle fait tendrement tourner une mèche des cheveux de son aimé entre ses doigts, puis ferme les yeux réfléchissant aux diverses possibilités pour soutenir celui qui est tout pour elle.

[hrp] ce texte est une introduction, je ferais une présentation plus détaillée par la suite, avec le prochain texte... et je confirme, je ne me suis pas trompée de section Smile

[/hrp]

Une belle et trendre histoire.

Prends grand soin d'Adeanor.

HRP: c'est avec la plus grande des joies que je t'accueillerais parmi nous. Ainsi nous aurons enfin le loisir de faire plus ample connaissance et nouée je l'espère une grande amitié entre les deux Mel. (va pas falloir confondre)

Invité

Ma Précieuse Âmie....

Quelle joie....
Quelle joie de revoir enfin le sourire sur votre visage!

Invité

Les piaillements d'oiseau sont assourdis par les murs du
logis,

Un pale rayon de lumiere filtre a travers la fenetre,

Le matin s'annonce, il entrouvre les yeux.

Une pression douce contre lui... elle dors..

Que sa presance est apaisante...

Un bras passe autour d’elle la berce tendrement : elle
merite toute l’attention du monde

Il la contemple, longuement, des pensees se bouculent dans
sa tete, encore embrumees par la nuit fuyante .

Si souvent il lui arrive de ne pas etre la pour elle,
l’attention qu’il voudrais lui porter n’est pas toujours aussi utopique qu’il
le desirerais ; mais qu’importe... il l’aime, plus que tout .

Un murmure s’echape de ses levres.. « Tye melanye, melissenya.. »

Sa main se crispe tres legerement autour de la taille de son
aimee de toujours. Comme pour la retenir.. retenir la nuit qui fuit.. retenir
ces secondes pres d’elle...

Un sourire se dessine sur son visage alors qu’il referme les
yeux : le sourire d’un profond bonheur.

Invité

Le soleil matinal étend timidement ses rayons sur le quartier de Noldalad. L'air est doux pour la saison. Une légère brise emporte les branches des arbres dans une danse paresseuse, accompagnée par l'étrange musique du bruissement de leurs feuilles roses, blanches, dorées ou vertes.

La porte d'une maison s'ouvre doucement, dans un grincement. La musicienne arrête aussitôt tout mouvement, se mordillant de façon bien familière la lèvre, elle attend. Elle tend l'oreille vers les bruits du foyer. Rassurée, elle esquisse un doux sourire, sort rapidement et referme derrière elle en silence.

Pieds nus, la jeune elfe s'avance sur le tendre gazon, un lourd étui à l'épaule. Un frisson remonte le long de sa colonne vertébrale au contact de l'herbe fraîche et encore humide de rosée. D'un pas lent et léger, la barde s'approche du petit lac proche de la maison. Là, elle pose avec mille précautions l'étui qui ne la quitte presque jamais. Elle l'ouvre, sourit avec tendresse et sort avec une joie toujours renouvelée son fidèle instrument. Elle laisse courir ses doigts sur le bois blanc de sa harpe, suivant l'entrelacs de feuilles finement sculpté. Son sourire s'élargit encore d'avantage lorsqu'elle frôle la signature, ce nom qui rend son instrument encore plus unique, encore plus merveilleux. La musicienne s'assied, positionne correctement sa harpe et attend. Elle ferme les yeux, relevant un peu la tête pour sentir la douce chaleur du soleil sur son visage. Elle écoute la mélodie du vent dans les feuilles, le clapotis de l'eau à ses pieds, le chant des oiseaux qui s'éveillent et rendent hommage à leur façon à ce jour nouveau. Elle inspire profondément, se laissant pénétrer de son environnement, cherchant à s'en approcher le plus possible, à se fondre dans cet instant de quiétude. Puis, les yeux toujours clos, elle laisse ses doigts pincer paresseusement les cordes de sa harpe. Une note après l'autre, une musique lente et douce monte dans les airs, s'accordant harmonieusement avec les sons alentours. C'est une mélodie de joie qui se fait entendre, profonde et intense, sourde mais toujours présente. Progressivement, joie, espoir et détermination se mêlent dans les accords qui s'élèvent dans les airs. La musique prend alors une dimension nouvelle, plus vive, plus assurée, plus appuyée. La musicienne ouvre enfin les yeux sur la dernière note, un sourire toujours présent sur ses lèvres. Elle range avec précaution sa harpe, referme l'étui et se lève.

Il est temps... Espérons juste que...

Meleneth secoue un peu la tête, s'interdisant à poursuivre cette pensée. Elle porte son regard vers le ciel du même bleu azur que les yeux de l'elfe. Le soleil se fait moins timide et répand sa douce et réconfortante chaleur sur le quartier qui finit de sortir de son sommeil. La musicienne s'étire, se chausse et enfin met son étui à l'épaule.

Le moment est venu, je vais les voir aujourd'hui même

D'un pas assuré, la musicienne se met en route, un sourire éclaire toujours son visage. Elle quitte la quiétude de son quartier et se dirige avec détermination vers Parth Aul et vers la maison d'une certaine confrérie.

Invité

Suilad ! Comme vous le savez, j'ai quitté les Caravaniers depuis quelques temps déjà... et depuis mon départ je ne cesse de réfléchir à certaines choses. Bon, certes... le fait d'être sans nouvelles de mon aimé pendant un certain temps fut le véritable déclencheur...

La musicienne secoue la tête et soupire, ses pas se font plus lent à mesure qu'elle approche du quartier de Parth Aur. Elle repense à sa conversation avec son tendre Adeanor, la joie qu'elle a pu lire dans le sombre regard de celui-ci quand elle lui a fait part de son désir de rejoindre les siens, mais aussi les mots qu'il lui a adressé. Depuis, elle n'avait eu de cesse de sonder son cœur, elle savait qu'elle ne devait pas prendre cet engagement à la légère. C'est pour cette raison qu'elle avait laissé passer de longues journées avant de prendre la route d'un pas décidé. Son cœur lui dictait toujours les mêmes choses
Ma place est auprès de celui que j'aime et auprès de ses compagnons qui font tant pour les autres. Je me suis trompée de voie une fois... je ne suis pas une marchande. Avec les Ombres, je sais, je sens que les choses seront différentes... leur raison d'être est si proche, si similaire de la mienne... aider son prochain, soulager les autres... donner tout ce qu'on a en soi pour propager l'espoir et faire reculer la menace... c'est auprès d'eux qu'est ma place !

Sourde à son environnement, la musicienne est toujours plongée dans ses pensées lorsqu'elle pénètre dans le quartier de Parth Aur. Elle avance machinalement vers la maison de confrérie des Ombres. Les mots se bousculent dans sa tête. Elle essaie de trouver la meilleure façon de se présenter aux compagnons d'Adeanor. Sa confiance s'ébranle. Un nœud se forme dans son estomac, ses pas deviennent encore plus lents, les battements de son cœur s'accélèrent tandis qu'une crainte nouvelle s'impose brusquement dans son esprit
Et s'ils ne voulaient pas de moi...

Meleneth secoue à nouveau la tête. Se mordillant la lèvre, elle se force à inspirer profondément pour calmer cette folle angoisse qui cherche à s'emparer d'elle. Elle serre contre elle l'étui de sa harpe, retrouvant dans ce geste un peu de son courage. Elle continue sa route à travers le quartier, songeant à ses échanges avec les Ombres, moments encore trop rare jusqu'à présent, mais elle sait qu'il lui suffit de faire un dernier pas vers eux pour que ces moments deviennent plus fréquents...et ce dernier pas, c'est aujourd'hui qu'elle le fait.
Sortant de ses pensées, la musicienne s'aperçoit que ses pas l'ont enfin amenée devant la maison de confrérie. Son cœur finit de s'apaiser lorsqu'elle regarde l'immense bâtisse, ses derniers doutes, ses dernières craintes fondent comme la neige sous les rayons du soleil. Elle franchit les derniers pas, frappe à la porte et patiente calmement, un doux sourire sur les lèvres.
Elle inspire à nouveau profondément en entendant quelqu'un s'approcher, puis ouvrir. Meleneth n'a pas le temps de bien observer qui se trouve face à elle lorsque les mots s'évadent de ses lèvres:

Mae govannen ! Je viens vers vous aujourd'hui car je désire ardemment rejoindre les Ombres... Je souhaite œuvrer à vos côtés...

La musicienne se mordille ensuite la lèvre, posant enfin son regard sur son interlocuteur, attendant avec un petit sourire

Invité

*Ouvre la porte du 5 rue de la rive*

*Aperçoit une belle elfe vêtue de somptueux vêtements noirs et la reconnait elle, ainsi que son langage*

*imitant l' accent des eldars* Suilad Melon ! Hum *réfléchit* Je ne suis pas le mieux placé pour accéder à votre demande, néanmoins je vais appeler mes officiers... *Crie* Melwaen ! Neyge ! Andewen ! Llestael ! Aratern ! Venez !

*sourit à la belle elfe* ...vous aurez tout mon soutient, ma dame... *s'incline, et invite l'eldar à prendre le thé dans le salon en attendant les autres...*

Invité

La musicienne observe un long moment celui qui se tient devant elle. Elle ne peut réprimer une grimace amusée lorsqu'il se met à crier pour appeler ses officiers. Elle incline la tête pour saluer à son tour le Hobbit et le suis dans le salon. Sa voix est maintenant plus calme, plus posée lorsqu'elle dit :

Par les étoiles... ne me donnez pas du Dame je vous prie... appelez moi simplement Meleneth puisque tel est mon nom. Et puis, si ma requête est acceptée comme je l'espère, nous serons amenés à nous côtoyer régulièrement... il est donc préférable que vous commenciez dès maintenant à vous servir de mon prénom.

La musicienne pose son lourd étui près d'elle, un doux sourire illumine toujours son visage tandis qu'elle garde son regard sur le hobbit. Sa main se porte machinalement sur la chaine qu'elle a autour du cou, serrant légèrement le bijou dans sa paume.

"Ne crie pas comme ça, Hildy. Nous sommes là. Ecarte toi de la porte et laisse entrer cette jeune personne".

"Sois la bienvenue chez les Ombres. Entre te réchauffer".

Assise derrière son bureau, Mel caresse son menton avec la plume qu’elle tient dans la main. Les yeux levés vers le plafond elle est en pleine réflexion. Il est de ces jours où elle a bien du mal à se concentrer sur tous ces fichus courriers auxquels elle doit répondre et visiblement celui-ci en est un. Au bout de longues minutes, elle reporte ses yeux vers le parchemin vierge posé sur sa table de travail. Pourquoi cette maudite lettre ne peut elle pas s’écrire seule ?

*Allez, allez, tu l’as déjà fait cent fois*

De sa main fine elle commence à coucher quelques mots sur le papier. Soudain, il lui semble avoir entendu crier son nom. La maison est grande alors elle doute. Ce serait un bon moyen d’échapper à la corvée. Elle se lève et va voir si on l’a bien appelé. Personne dans la salle des Ombres. Elle la traverse donc vers le grand hall. Elle y aperçoit le jeune hobbit, Neyge et Meleneth. Elle s’avance vers eux, tout sourire.

« Oh bonjour Dame Meleneth. Il me semblait avoir entendu crier mon prénom. C’est pour accueillir notre amie que vous m’avez appelé ? »

Elle s’adresse surtout à Hildi car la voix qu’elle avait cru percevoir était masculine, alors à moins que Neyge soit enrouée… Son regard va d’une personne à une autre, attendant de comprendre les motifs de cette petite réunion et espérant qu’on la retienne le plus longuement possible hors de son bureau.

Invité

La musicienne salue Neyge en inclinant la tête. Elle s'apprête à parler lorsqu'elle voit Melwaen arriver à son tour. Elle attend un instant, inspire profondément, puis, sans se départir de son sourire, elle se lance

Suilad Neyge, suilad Hiril Melwaen ! Je... comme je le disais il y a un instant à votre ami... je suis venue pour vous exprimer mon désir de rejoindre les Ombres... j'en ai déjà discuté avec Adeanor et... enfin me voilà... j'aimerais vraiment de tout cœur être à vos côtés pour aider les autres... pour combattre auprès de vous...

La musicienne s'arrête et observe tour à tour les trois personnes. Elle se mordille la lèvre, une légère anxiété se lit dans son regard tandis qu'elle attend les réactions, une main posée sur l'étui de sa harpe.

Invité

Il y'a de la lumière et de l'animation... elle a du entrer.

Sa cape flottant au vent, l'elfe de rouge vêtu approche de la grande battisse de sa confrérie et en ouvre doucement la porte. Dans l'entrebâillement il attend et tend l'oreille un bref instant. Une des voix si douce, lui est bien familiere.
Il entre...

...scuté avec Adeanor
et... enfin me voilà... j'aimerais vraiment de tout cœur être à vos
côtés pour aider les autres... pour combattre auprès de vous...

La fin de la phrase se termine alors qu'il arrive aux coté de sa belle, passant un bras tendre autour de ses epaules, il adresse a ses compagnons un sourire .

Je crois que le principal est dit *clin d'oeil*

Invité

Meleneth se détend en sentant son aimé à ses côtés. A son tour, elle passe un bras autour de la taille d'Adeanor et attend plus paisiblement les réactions

Neyge observait la jeune Meleneth. Elle était aussi jolie que dans son souvenir.

Meleneth semblait inquiète. Neyge la voyait se mordiller la lèvre.

La porte s'ouvrit de nouveau laissant entrer Adeanor...Adeanor, son ami de longue date. Il y avait tellement longtemps qu'ils se connaissaient que Neyge ne savait même plus comment ils s'étaient rencontrés...un jour, il faudrait qu'elle lui demande de lui rafraîchir la mémoire.

Elle le regarda enlacer Meleneth , tendrement, et vit, immédiatement, les traits de cette dernière se détendre.

Ils formaient vraiment un beau couple.

"Mais ne restez pas dans l'entrée, voyons ! Adeanor, emmène Meleneth près du feu. Mel , vas t'installer tranquillement avec eux. Hildy et moi allons nous charger de vous apporter un plateau de muffins et du lait de chèvre....tu vas voir, Meleneth...un régal, les muffins. Ils sont tout chauds, ils sortent du feu. Viens vite Hildy, me donner un coup de main".

Neyge fit demi tour emmenant avec elle, Hildy qui trottinait à ses côtés...

Toujours sur le pas de la porte, le petit groupe semblait attendre que l'un ou l'autre agisse. Ce fut finalement Meleneth qui, timidement et visiblement mal à l'aise, prit la parole. A ses mots, Mel ne cacha pas sa surprise, elle avait un visage si exprssif qu'il était facile de deviner ce qu'elle ressentait. Adeano entra à ce moment là et vint apporter son soutien à sa belle. La guide des Ombres se répéta mentalement la phrase pour être sûre d'avoir bien saisi... Lorsque la menestrelle avait quitté les Caravaniers, elle lui avait proposé de les rejoindre mais son courrier étant resté sans réponse, elle avait conclu que l'eldar n'avait pas osé répondre par la négative.

Neyge voyant que personne ne réagissait, invita les deux Mel à s'installer au salon pendant qu'Hildi et elle iraient chercher un petit encas. Les deux demoiselles se dirigèrent donc docilement vers la pièce sus-mentionnée. Adeanor les accompagna. Melwaen prit comme à son habitude le banc sans coussins ce qui lui fit penser encore une fois qu'il fallait qu'elle prenne le temps d'en faire de nouveaux. Bref, elle reporta son attention sur sa voisine et lui sourit largement.

"Eh bien, chère Meleneth, j'aime entendre pareille nouvelle. Je serais ravie bien sûr de vous accueillir au sein des Ombres, et je ne serais pas la seule."

Disant cela, elle sourit à Adeanor. Elle pensait néanmoins qu'il ne serait pas le seul à se réjouir.

Invité

Rendant le sourire, Adeanor adressa un regard a son aimée, dans lequelle elle pourait lire son amour et a quel point il etait fiere d'elle.

"Cette décision est la tienne, mon amour.
Ta presence au sein de notre confrérie me remplira de joie, mais elle reflette avant tout ton engagement personnel.
Mais je crois que la décision a été murrement reflechie n'est ce pas ?"

Il adressa un sourire a sa douce, puis a Melwaen...

"Ou est ce qu'elle signe ? *clin d'oeil*"

Invité

La musicienne s'assied, un sourire détendu sur les lèvres, tandis qu'elle écoute Melwaen et Adeanor. Elle acquiesce aux paroles de son aimé et dit :

Mae, très murement réfléchit même... j'ai commencé à réfléchir à tout cela un peu avant mon départ de la Caravane. Mais j'ai voulu prendre le temps, notamment d'en parler avec toi mon cœur et puis... *repose son regard sur Melwaen*
je voulais être sure de ne pas m'engager à vos cotés à la légère car cela n'aurait pas été juste vis à vis de vous tous.

Meleneth ne peut retenir un léger rire en entendant son aimé demander où elle doit signer

Alors ? où dois-je signer ? *demande-t-elle avec un large sourire*

Melwaen souriait toujours, regardant le couple assis face à elle. Finalement cette journée s'annonçait bien. La paperasserie déjà oubliée, il serait bien assez temps de s'en soucier demain.

"Il n'y a rien à signer. Même si rejoindre les Ombres est comme vous l'avez dit un engagement sérieux, cela n'a rien d'un contrat. C'est plus des aspirations communes. Nous ne sommes pas un commerce mais une famille et j'espère que vous vous y sentirez chez vous."

Ayant terminé sa phrase, Mel regarda si Neyge et Hildi revenaient avec la collation.

» Meleneth Linvanë